L’industrie du tabac se présente comme une alliée de la communauté LGBTIQ+ en finançant des associations et en promouvant l’inclusion. Cependant, depuis des décennies, elle cible cette communauté à travers des campagnes publicitaires spécifiques. En Suisse, malgré son image inclusive, elle entretient une contradiction majeure en finançant l’UDC, un parti très conservateur qui s’oppose systématiquement aux droits des personnes LGBTIQ+.
Vingt ans après avoir signé la Convention-cadre de l’OMS pour la lutte antitabac, la Suisse n’a pas ratifié ce traité et reste en retard sur la prévention. Sous l’influence des cigarettiers, le pays privilégie les intérêts économiques, avec des mesures jugées insuffisantes, tandis que 20 000 jeunes tombent chaque année dans l’addiction. Hugo Molineaux, chercheur pour OxySuisse, était notre invité.
Die Tabakindustrie spendet Millionen an Hilfswerke. Auch verschiedene Rotkreuz-Organisationen haben über Jahre Geld von Tabakfirmen angenommen – und das, obwohl das Rote Kreuz auch eine Gesundheitsorganisation ist. Erst 2021 hat der Rotkreuz-Rat entschieden, keine Tabak-Spenden mehr anzunehmen.
Im Wallis dürfen Tabakfirmen keine Musikfestivals sponsern. Trotzdem war British American Tobacco am Caprices Festival präsent. Die Beobachter-Recherche zeigt die Hintergründe.
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